Catégories
Scoop.it

Charles d’Argy — Wikipédia

Charles d’Argy – Wikipédia

Le colonel Charles d’Argy Charles d’Argy (Charles Henry Louis comte d’Argy), né le à Malmy (Ardennes) et décédé à Rome le , est un militaire français. Colonel de l’ armée française sous le Second Empire, il est cofondateur de l’école normale de gymnastique militaire de Joinville en 1852 et fondateur de la Légion d’Antibes en 1866.

Charles d’Argy (Charles Henry Louis comte d’Argy), né le 26 mai 1805 à Malmy (Ardennes) et décédé à Rome le 26 janvier 1870, est un militaire français. Colonel de l’armée française sous le Second Empire, il est cofondateur de l’école normale de gymnastique militaire de Joinville en 1852 et fondateur de la Légion d’Antibes en 1866. Biographie[modifier le code] Charles d’Argy est le fils de Charles-Louis d’Argy de Malmy, officier des gardes du corps du roi Louis XVIII et de Joséphine Rosine Schmidt de Bude. D’une très ancienne famille de la noblesse de Champagne, alliée aux Maisons de Coucy, d’Ambly, d’Alendhuy, de Roucy, de Maubeuge, il est élevé dans un environnement militaire. Après des études au collège de Charleville, il s’engage dans la Garde royale. Armoiries[modifier le code] Armes d’Argy : d’argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules. Les campagnes méditerranéennes[modifier le code] En 1823, à 18 ans, il participe à la campagne d’Espagne sous les ordres du duc d’Angoulème et y gagne ses galons de sergent. Il participe ensuite en 1830 à la conquête de l’Algérie . Promu adjudant après la prise d’Alger il poursuit sa carrière en Algérie jusqu’en 1852, participant la campagne de la Petite Kabylie sous les ordres du maréchal Randon1. Pendant toute cette période coloniale, il manifeste un intérêt particulier pour l’entraînement et l’entretien physique du soldat et les travaux d’Amoros. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? L’École normale de gymnastique militaire de Joinville[modifier le code] Cet intérêt lui vaut le 15 juillet 1852 d’ouvrir l’école normale de gymnastique militaire de Joinville à la redoute de la FaisanderieN 1 alors dans l’ex-département de la SeineN 2. Il en est le premier commandant, secondé par Napoléon Laisné, un autre fidèle d’Amoros. L’objectif de l’école est de former des moniteurs militaires de gymnastique mais « elle va rapidement s’impliquer hors de l’espace propre à l’armée en profitant de la double opportunité de l’obligation de la gymnastique dans les écoles publiques et de l’absence de dispositifs de formations à l’éducation physique scolaire2 ». Dès les premiers mois, d’Argy fait publier un Livret de commandement à l’usage des instructeurs du régiment et intervient auprès du Ministre de la Guerre pour faire établir la liste des équipements indispensables dans chaque corps de troupe3. Ayant obtenu satisfaction il publie lui-même en 1855 une Instruction pour l’enseignement de la gymnastique. Rééditée en 1865 et 1872 celle-ci règle pendant un demi-siècle l’enseignement de Joinville4 où d’Argy contribue également à instituer l’enseignement de la natation5. Il s’appuie à cet effet sur un ouvrage qu’il a publié lui-même dès 1851 avec l’aval du ministère des Armées. Son Instruction pratique pour l’enseignement élémentaire de la natation dans l’Armée préconise l’apprentissage des mouvements sur la terre ferme avant leur application en milieu aquatique aménagé et sécurisé 6. En 1856 il cède la direction de l’École au commandant de la Plane7. Besançon[modifier le code] Mobilisé pour la campagne d’Italie, il y sert sous les ordres du maréchal Niel et à la suite de la bataille de Solférino, le 24 juin 1859, Charles d’Argy est nommé colonel du 53e de ligne qu’il suit en garnison à Besançon. Devenu rapidement une personnalité de la ville, il contribue à son développement sportif en y remettant – entre autres – la pratique du tir à l’arc au goût du jour tant dans les milieux civils que militaires8. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? La légion d’Antibes[modifier le code] En 1866 il accepte, à la demande du maréchal Randon ministre de la Guerre, de fonder et commander la Légion d’Antibes N 3, corps de volontaires français mis au service du pape pour la défense des états pontificaux. Celle-ci, réunie à Antibes, embarque pour l’Italie forte de 1 200 hommes le 13 septembre 1866 et défile devant Pie IX le 24. Composée uniquement de volontaires, elle porte l’uniforme en usage dans l’infanterie française, avec la coiffure et les insignes des chasseurs et des boutons portant la tiare pontificale et les clés de saint Pierre. Elle est équipée du très récent fusil Chassepot qui permet une cadence de tir très rapide pour l’époque. Cette unité est casernée à Viterbe et à Rome. En octobre 1867, Garibaldi et ses chemises rouges déclenchent une offensive contre les états pontificaux. Le général Kanzler, commandant en chef des troupes pontificales mène la contre-offensive. Le 3 novembre 1867 à Mentana, les zouaves pontificaux du colonel de Charette et la Légion du colonel d’Argy soutenus par la brigade de l’armée française du général Polhès mettent en déroute la petite armée de Garibaldi. Cette victoire de Mentana assure à l’État pontifical un répit de trois ans jusqu’à la prise de Rome par les troupes italiennes le 21 septembre 1870 où la Légion d’Antibes capitule avec les honneurs de la guerre. Entre-temps le colonel comte Charles d’Argy meurt à Rome le 26 janvier 1870, assisté du Saint-Père sur son lit de mort. Les officiers de son régiment font ériger un monument à sa mémoire en l’église Saint-Louis des Français à RomeN 4. Décorations[modifier le code] Charles d’Argy, commandeur de la Légion d’honneur par décret du 29 décembre 1864, est également titulaire de : l’ordre de Pie IX ; l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand ; l’ordre de Saint-Ferdinand d’Espagne ; l’ordre du Mérite militaire de Savoie ; l’ordre de François Ier des Deux-Siciles ; l’ordre de l’Aigle rouge de Prusse ; la croix de Mentana. Cravate de commandeur de l’ordre impérial de la Légion d’honneur Médaille de l’ordre de Pie IX Collier de l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand Médaille de l’ordre de Saint-Ferdinand d’Espagne Médaille de l’ordre royal de François Ier des Deux-Siciles Médaille de l’ordre de l’Aigle rouge de Prusse Notes et références[modifier le code] Notes[modifier le code] ↑ Ouvrage des fortifications de Saint-Maur en limite est du Bois de Vincennes et du plateau de Gravelle alors sur le territoire de la commune de Joinville-le-Pont. Depuis 1929, les parties du Bois de Vincennes appartenant aux communes riveraines sont rattachées au 12earrondissement de Paris ↑ Dont une partie constitue le Val-de-Marne depuis le 1er janvier 1968 ↑ Officiellement dénommée Légion romaine ↑ Le 26 septembre, la légion débarque à Toulon pour former le 47e régiment de marche. Aussitôt envoyé contre les Prussiens pour tenter de débloquer Belfort avec le général Bourbaki, celui-ci s’illustre à Villersexel. En avril 1871, durant les troubles de la Commune, le ministre de la Guerre envoie le 47e à Marseille pour combattre les insurgés soutenus par les chemises rouges de Garibaldi. Références[modifier le code] ↑ Abbé Besson 1870, p. 1 ↑ Pierre Simonet et Laurent Veray, 2003 ↑ Lieutenant-Colonel Labrosse 1930, p. 19 ↑ Lieutenant-Colonel Labrosse 1930, p. 20 ↑ Ministère de la Défense 1996, p. 15 ↑ Ministère de la Défense 1996, p. 17 ↑ Lieutenant-Colonel Labrosse 1930, p. 40 ↑ Abbé Besson 1870, p. 2 Bibliographie[modifier le code] : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Archives départementales des Ardennes. Archives nationales, fonds 2 empire. Abbé Besson, Notice sur le Comte Charles d’Argy : colonel de la légion romaine, Besançon, Imprimerie J. Jacquin, 1870. Lire en ligne « Notice sur le Comte Charles d’Argy, pages 1 et 2 » L. F de Caumartin, procès-verbal de la recherche de la Noblesse de Champagne. D’Hozier, Grand Armorial de France. Lieutenant-Colonel Labrosse, L’Ecole de Joinville 1852-1930, Joinville, Imprimerie de l’Ecole, 1930 Ministère de la Défense (dir.), Une histoire culturelle du sport : De Joinville à l’Olympisme, Paris, Revue EPS, 1996, 226 p. (ISBN 2-86713-131-6, BNF ) Louis Adrien Roland, comte d’Argy, Histoire de la Maison d’Argy. Pierre Simonet (dir.) et Laurent Veray (dir.), L’empreinte de Joinville 150 ans de sport, Paris, INSEP, coll. « Les cahiers de l’INSEP », mai 2003, 503 p. (ISBN 978-2-86580-143-5, BNF ) Abbé Staub, Historique de la Légion franco-romaine, ex-légion d’Antibes, devenue 47e régiment de marche. Rome 1866-1870 ; France 1870-1871, Abbeville, Paillart, S. d., 1893 (ASIN ) Article connexe[modifier le code] Familles subsistantes de la noblesse française Portail de l’histoire militaire Portail du sport Portail de la France Portail du Vatican <img alt= » » width= »1″ title= » » height= »1″ src= »//fr.wikipedia.org/wiki/Special:CentralAutoLogin/start?type=1×1″ style= »border: none; position: absolute; »> Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Charles_d%27Argy&oldid=208759324 ».

Lire l’article complet sur : fr.wikipedia.org

Charles d’Argy – Wikipédia

Le colonel Charles d’Argy Charles d’Argy (Charles Henry Louis comte d’Argy), né le à Malmy (Ardennes) et décédé à Rome le , est un militaire français. Colonel de l’ armée française sous le Second Empire, il est cofondateur de l’école normale de gymnastique militaire de Joinville en 1852 et fondateur de la Légion d’Antibes en 1866.

Charles d’Argy (Charles Henry Louis comte d’Argy), né le 26 mai 1805 à Malmy (Ardennes) et décédé à Rome le 26 janvier 1870, est un militaire français. Colonel de l’armée française sous le Second Empire, il est cofondateur de l’école normale de gymnastique militaire de Joinville en 1852 et fondateur de la Légion d’Antibes en 1866. Biographie[modifier le code] Charles d’Argy est le fils de Charles-Louis d’Argy de Malmy, officier des gardes du corps du roi Louis XVIII et de Joséphine Rosine Schmidt de Bude. D’une très ancienne famille de la noblesse de Champagne, alliée aux Maisons de Coucy, d’Ambly, d’Alendhuy, de Roucy, de Maubeuge, il est élevé dans un environnement militaire. Après des études au collège de Charleville, il s’engage dans la Garde royale. Armoiries[modifier le code] Armes d’Argy : d’argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules. Les campagnes méditerranéennes[modifier le code] En 1823, à 18 ans, il participe à la campagne d’Espagne sous les ordres du duc d’Angoulème et y gagne ses galons de sergent. Il participe ensuite en 1830 à la conquête de l’Algérie . Promu adjudant après la prise d’Alger il poursuit sa carrière en Algérie jusqu’en 1852, participant la campagne de la Petite Kabylie sous les ordres du maréchal Randon1. Pendant toute cette période coloniale, il manifeste un intérêt particulier pour l’entraînement et l’entretien physique du soldat et les travaux d’Amoros. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? L’École normale de gymnastique militaire de Joinville[modifier le code] Cet intérêt lui vaut le 15 juillet 1852 d’ouvrir l’école normale de gymnastique militaire de Joinville à la redoute de la FaisanderieN 1 alors dans l’ex-département de la SeineN 2. Il en est le premier commandant, secondé par Napoléon Laisné, un autre fidèle d’Amoros. L’objectif de l’école est de former des moniteurs militaires de gymnastique mais « elle va rapidement s’impliquer hors de l’espace propre à l’armée en profitant de la double opportunité de l’obligation de la gymnastique dans les écoles publiques et de l’absence de dispositifs de formations à l’éducation physique scolaire2 ». Dès les premiers mois, d’Argy fait publier un Livret de commandement à l’usage des instructeurs du régiment et intervient auprès du Ministre de la Guerre pour faire établir la liste des équipements indispensables dans chaque corps de troupe3. Ayant obtenu satisfaction il publie lui-même en 1855 une Instruction pour l’enseignement de la gymnastique. Rééditée en 1865 et 1872 celle-ci règle pendant un demi-siècle l’enseignement de Joinville4 où d’Argy contribue également à instituer l’enseignement de la natation5. Il s’appuie à cet effet sur un ouvrage qu’il a publié lui-même dès 1851 avec l’aval du ministère des Armées. Son Instruction pratique pour l’enseignement élémentaire de la natation dans l’Armée préconise l’apprentissage des mouvements sur la terre ferme avant leur application en milieu aquatique aménagé et sécurisé 6. En 1856 il cède la direction de l’École au commandant de la Plane7. Besançon[modifier le code] Mobilisé pour la campagne d’Italie, il y sert sous les ordres du maréchal Niel et à la suite de la bataille de Solférino, le 24 juin 1859, Charles d’Argy est nommé colonel du 53e de ligne qu’il suit en garnison à Besançon. Devenu rapidement une personnalité de la ville, il contribue à son développement sportif en y remettant – entre autres – la pratique du tir à l’arc au goût du jour tant dans les milieux civils que militaires8. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? La légion d’Antibes[modifier le code] En 1866 il accepte, à la demande du maréchal Randon ministre de la Guerre, de fonder et commander la Légion d’Antibes N 3, corps de volontaires français mis au service du pape pour la défense des états pontificaux. Celle-ci, réunie à Antibes, embarque pour l’Italie forte de 1 200 hommes le 13 septembre 1866 et défile devant Pie IX le 24. Composée uniquement de volontaires, elle porte l’uniforme en usage dans l’infanterie française, avec la coiffure et les insignes des chasseurs et des boutons portant la tiare pontificale et les clés de saint Pierre. Elle est équipée du très récent fusil Chassepot qui permet une cadence de tir très rapide pour l’époque. Cette unité est casernée à Viterbe et à Rome. En octobre 1867, Garibaldi et ses chemises rouges déclenchent une offensive contre les états pontificaux. Le général Kanzler, commandant en chef des troupes pontificales mène la contre-offensive. Le 3 novembre 1867 à Mentana, les zouaves pontificaux du colonel de Charette et la Légion du colonel d’Argy soutenus par la brigade de l’armée française du général Polhès mettent en déroute la petite armée de Garibaldi. Cette victoire de Mentana assure à l’État pontifical un répit de trois ans jusqu’à la prise de Rome par les troupes italiennes le 21 septembre 1870 où la Légion d’Antibes capitule avec les honneurs de la guerre. Entre-temps le colonel comte Charles d’Argy meurt à Rome le 26 janvier 1870, assisté du Saint-Père sur son lit de mort. Les officiers de son régiment font ériger un monument à sa mémoire en l’église Saint-Louis des Français à RomeN 4. Décorations[modifier le code] Charles d’Argy, commandeur de la Légion d’honneur par décret du 29 décembre 1864, est également titulaire de : l’ordre de Pie IX ; l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand ; l’ordre de Saint-Ferdinand d’Espagne ; l’ordre du Mérite militaire de Savoie ; l’ordre de François Ier des Deux-Siciles ; l’ordre de l’Aigle rouge de Prusse ; la croix de Mentana. Cravate de commandeur de l’ordre impérial de la Légion d’honneur Médaille de l’ordre de Pie IX Collier de l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand Médaille de l’ordre de Saint-Ferdinand d’Espagne Médaille de l’ordre royal de François Ier des Deux-Siciles Médaille de l’ordre de l’Aigle rouge de Prusse Notes et références[modifier le code] Notes[modifier le code] ↑ Ouvrage des fortifications de Saint-Maur en limite est du Bois de Vincennes et du plateau de Gravelle alors sur le territoire de la commune de Joinville-le-Pont. Depuis 1929, les parties du Bois de Vincennes appartenant aux communes riveraines sont rattachées au 12earrondissement de Paris ↑ Dont une partie constitue le Val-de-Marne depuis le 1er janvier 1968 ↑ Officiellement dénommée Légion romaine ↑ Le 26 septembre, la légion débarque à Toulon pour former le 47e régiment de marche. Aussitôt envoyé contre les Prussiens pour tenter de débloquer Belfort avec le général Bourbaki, celui-ci s’illustre à Villersexel. En avril 1871, durant les troubles de la Commune, le ministre de la Guerre envoie le 47e à Marseille pour combattre les insurgés soutenus par les chemises rouges de Garibaldi. Références[modifier le code] ↑ Abbé Besson 1870, p. 1 ↑ Pierre Simonet et Laurent Veray, 2003 ↑ Lieutenant-Colonel Labrosse 1930, p. 19 ↑ Lieutenant-Colonel Labrosse 1930, p. 20 ↑ Ministère de la Défense 1996, p. 15 ↑ Ministère de la Défense 1996, p. 17 ↑ Lieutenant-Colonel Labrosse 1930, p. 40 ↑ Abbé Besson 1870, p. 2 Bibliographie[modifier le code] : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Archives départementales des Ardennes. Archives nationales, fonds 2 empire. Abbé Besson, Notice sur le Comte Charles d’Argy : colonel de la légion romaine, Besançon, Imprimerie J. Jacquin, 1870. Lire en ligne « Notice sur le Comte Charles d’Argy, pages 1 et 2 » L. F de Caumartin, procès-verbal de la recherche de la Noblesse de Champagne. D’Hozier, Grand Armorial de France. Lieutenant-Colonel Labrosse, L’Ecole de Joinville 1852-1930, Joinville, Imprimerie de l’Ecole, 1930 Ministère de la Défense (dir.), Une histoire culturelle du sport : De Joinville à l’Olympisme, Paris, Revue EPS, 1996, 226 p. (ISBN 2-86713-131-6, BNF ) Louis Adrien Roland, comte d’Argy, Histoire de la Maison d’Argy. Pierre Simonet (dir.) et Laurent Veray (dir.), L’empreinte de Joinville 150 ans de sport, Paris, INSEP, coll. « Les cahiers de l’INSEP », mai 2003, 503 p. (ISBN 978-2-86580-143-5, BNF ) Abbé Staub, Historique de la Légion franco-romaine, ex-légion d’Antibes, devenue 47e régiment de marche. Rome 1866-1870 ; France 1870-1871, Abbeville, Paillart, S. d., 1893 (ASIN ) Article connexe[modifier le code] Familles subsistantes de la noblesse française Portail de l’histoire militaire Portail du sport Portail de la France Portail du Vatican <img alt= » » width= »1″ title= » » height= »1″ src= »//fr.wikipedia.org/wiki/Special:CentralAutoLogin/start?type=1×1″ style= »border: none; position: absolute; »> Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Charles_d%27Argy&oldid=208759324 ».

Lire l’article complet sur : fr.wikipedia.org

Par francis sellam

Je travaille simultanément sur trois axes professionnels :
Éducation Nationale, en qualité d’inspecteur (IEN) économie-gestion.
Politique en étant que 1er maire adjoint au logement, finances et ressources humaines.
Création ou participation sous forme d’actionnaire au développement d’entreprises.

Ces différents leviers me permettent d’acquérir des compétences élargies en ayant une vision systémique des organisations.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *