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Val-de-Marne : un coup d’accélérateur donné aux travaux d’assainissement de l’A4 | Actu Paris

Le traitement des eaux pluviales qui ruissellent depuis l’autoroute A4 jusque dans la Marne fera bientôt l’objet d’un premier tronçon de travaux.

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6,5 millions d’euros pour sécuriser la distribution d’eau potable

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Pat’Apouf — Wikipédia

Pat’Apouf – Wikipédia

Pat’Apouf ou Pat’Apouf Détective est une série dessinée policière créée en 1938 par Gervy, pseudo de l’auteur de bd Yves Desdemaines-Hugon, construit à partir du prénom de son épouse Germaine et le sien. Elle sera publiée chaque semaine dans l’hebdomadaire catholique Le Pèlerin, sous le pinceau de Gervy jusqu’en 1973 – soit pendant 35 années d’affilée – date à laquelle celui-ci prendra sa retraite.

Pat’Apouf ou Pat’Apouf Détective est une série dessinée policière créée en 1938 par Gervy, pseudo de l’auteur de bd Yves Desdemaines-Hugon, construit à partir du prénom de son épouse Germaine et le sien. Elle sera publiée chaque semaine dans l’hebdomadaire catholique Le Pèlerin, sous le pinceau de Gervy jusqu’en 1973 – soit pendant 35 années d’affilée – date à laquelle celui-ci prendra sa retraite. Elle sera ensuite poursuivie successivement par Jean Ache, Michel Conversin et Jean-Philippe Ballofet de 1973 à 1990. Quand on sait que le Pèlerin était lu par deux millions de personnes chaque semaine, on peut comprendre que Pat’Apouf soit devenu un personnage assez célèbre. Avec les quelques histoires courtes publiées dans l’almanach du Pèlerin entre 1949 et 1961, c’est un total de 1739 planches qui auront été produites par Gervy durant cette période, scénario et dessin compris à l’exception de quelques épisodes à la fin des années 60 dont les textes sont écrits par un journaliste du Pèlerin, Albert Boitel. La série sera en partie éditée en albums – parfois amputés parfois de plusieurs planches – sous le label Ciné-Color de la Bonne Presse (devenu depuis Bayard Presse). Les Éditions du Triomphe rééditeront à partir de 2005 les principales histoires, en particulier celles de la période 1946-1956. Description[modifier le code] Synopsis[modifier le code] Pat’apouf est un détective de métier qui, sous des dehors bonhomme est un enquêteur opiniâtre, jamais à court d’inspiration, à l’aise dans tous les domaines, sachant piloter bateaux de toutes sortes, avions ou hélicoptères, capable de pratiquer la boxe lorsqu’il la situation l’exige. Toutes les affaires grandes ou petites – espionnage, faussaires, trafiquants – l’intéressent et sont généralement l’occasion de voyager aux quatre coins du monde : aux Antipodes, en Océanie, en Afrique, Corse, Amazonie, dans les Andes et dans le Nord Canadien, etc Seul durant près de vingt ans, il s’adjoindra un aide en la personne d’un jeune garçon, Jacky, à partir de 1956. Personnages[modifier le code] Peu ou pas de personnages récurrents dans cette série en dehors du héros, du moins jusqu’en 1956. Par la suite, le jeune Jacky accompagnera systématiquement Pat’Apouf. Certains gangsters auront l’honneur de revenir pour un deuxième album (Totoche et Quinquin dans Le virus de la mort et le gang des diamants); et le maladroit inspecteur Merinos sera de toutes les aventures en Boldovie. Clins d’œil[modifier le code] Gervy s’est inspiré pour habiller son héros – veste noire, gilet rouge – du personnage de Jiggs dans la famille Illico (titre original : Bringing Up Father) La série[modifier le code] Naissance d’un personnage[modifier le code] Le personnage naît de la rencontre en 1937 entre Gervy qui travaille déjà pour une revue de la Bonne Presse, Bayard, et le père Guichardan, jeune rédacteur en chef du Pèlerin. Celui-ci veut moderniser l’hebdomadaire et y intégrer une bande dessinée. Voilà comment Gervy décrit la naissance de son héros : « Je réfléchis. Il faut un personnage jovial, plaisant, surtout humain, avec ses qualités et ses défauts. Au diable le surhomme infaillible à qui toujours tout réussit … J’ai ensuite cherché un nom facile à retenir et adapté au physique rondouillard et un peu comique de notre personnage; je l’ai nommé Pat’Apouf ». Très vite, à partir de 1938, la bande hebdomadaire devient populaire. La guerre va perturber la publication qui trouvera place sur d’autres supports puisque le Pèlerin cesse de paraître de 1940 à 1945. Quand elle reprend, Gervy crée des scénarios originaux et dépaysants et la période qui va suivre jusqu’en 1956 est considérée par les historiens de la bd tels Dominique Petitfaux, comme l’âge d’or de la série. La méthode Pat’Apouf[modifier le code] Le plus souvent, Pat’Apouf subit l’arrivée des évènements plus qu’il ne les provoque. Alors qu’il se repose d’une aventure précédente, il va être sollicité plus ou moins fortuitement pour secourir une personne en difficulté, accompagner un ami partant en expédition ou en voyage, démêler un imbroglio. Ce qui généralement, va l’entraîner loin de chez lui, parfois à l’autre bout du monde, en Amérique ou dans le Pacifique. Il use, dans ses enquêtes, de méthode et de raisonnement, observe minutieusement les moindres indices, suppute, déduis et fait part de ses réflexions au lecteur, questionne les témoins, réfléchis et agis. Car de l’action, il y en a et à foison. Sur terre, sur mer et dans les airs. Son milieu de prédilection, c’est l’eau ou l’élément maritime, omniprésent dans les aventures : Pat’Apouf sait nager bien sûr (PA prend des vacances, le virus de la mort), mais on le voit fréquemment sur un canoë ou un kayak (aux Antipodes, contre les Gangsters, au Village), sur un bateau (contre les Gangsters, le Gang des diamants), habillé en homme-grenouille (les Roches rouges, le Gang des diamants), dans un sous-marin (les Roches rouges), en adepte de la pêche en mer (PA prend des vacances, le virus de la mort). S’il a du mal à maîtriser le char à voiles (au Village), c’est sans doute parce que c’est un sport de plage qu’il n’a jamais eu l’occasion de pratiquer. Pat’apouf est opportuniste et sait exploiter toutes les ressources de son environnement, pour se dissimuler comme dans la vignette ci-contre (contre les gangsters planche 39) ou pour s’évader : dans l’épisode les Roches rouges, il s’échappe par le plafond de sa cellule après avoir percé un trou dans le lattis (planche 25); Jacky fera de même dans l’épisode le Virus de la mort. L’aviation est aussi un moyen de gagner de vitesse les bandits et Pat’Apouf est à l’aise pour piloter les hélicoptères (PA prend des vacances, les Roches rouges), toutes sortes d’avions (le vol du moteur secret, PA chasse les grands fauves, en Amazonie) et même une fusée (PA en fusée). Des bandits qui cherchent à le supprimer et un des moyens souvent utilisés consiste à essayer de l’écraser sous une avalanche de rochers (dans le second épisode des Vacances, planche 21), lorsqu’il chasse les Grands fauves (planche 29) ou dans l’épisode des Roches rouges (planche 10). Des malfaiteurs qui aiment à se retrancher dans des cavités naturelles aménagées aux parois inexpugnables, comme dans le second épisode des Vacances, planche 27, aux Antipodes planches 28, 29, contre les Gangsters, planches 33 à 43. Et Pat’Apouf est parfois obligé lui-même de d’emprunter des passages souterrains pour les surprendre ou pour accéder à des caches : contre les Gangsters, planches 15 et 16, au Village, planche 9, 10 (ce qui lui donne l’occasion de découvrir des peintures rupestres), en Fusée, planches 24, 25 et 27 Et lorsque les malfaisants sont cernés et démasqués, ils sont obligés de se rendre à l’évidence : Pat’Apouf les a démasqués et il les remet alors à la police officielle, tout heureuse d’apparaître dans les dernières cases pour récolter le fruit des investigations de ce détective opiniâtre et perspicace qui de surcroît semble dédaigner toute idée de rémunération pour ces services rendus à la société. Même si le public-cible sont les enfants, les histoires de la période 1946-1956 ne sont pas enfantines pour autant; les scénarios sont complexes et fouillés et ce sont des adultes sauf exception qui sont mis en scène avec des comportements et des raisonnements d’adultes. C’est sans doute ce qui explique que les récits étaient lus à l’époque aussi bien par les enfants que par leurs parents. Après 1956 et avec l’entrée en scène de Jacky, les scénarios vont évoluer, perdre peut être un peu de leur consistance et devenir à la fois plus simples et plus comiques. Le retour du grand détective[modifier le code] À partir de 2005, les Éditions du Triomphe entreprennent la publication des principales aventures du détective, d’abord celles de la période 1946-1956 et certaines d’entre elles n’avaient jamais été publiées en album (l’affaire Hourtin, Le vol du moteur secret, Pat’Apouf au Far West) ainsi que quatre épisodes postérieurs à 1956. Les vignettes sont au passage légèrement agrandies pour tenir compte des changements de format entre la parution initiale dans le Pèlerin et le format standard adopté après 1956. Les héritiers[modifier le code] Jean Ache[modifier le code] L’auteur confie alors la série à Jean Ache en 1973. Déjà sur sa première planche Le Secret de l’urne zapothèque à partir du 3 juin 1973, ce dernier habille Jacky en pantalon pour délaisser finalement sa culotte courte. Il crée une nouvelle compagnie en 1975 : le chien Goliath de Jacky, adopté en Angleterre ainsi que de nouveau personnages comme la voisine Alice Patacaisse et le commissaire Boldu en 1978 sans oublier le journaliste importun Amilcar Amidon en 1984. Le 19 décembre 1985, il meurt subitement chez lui à Joinville-le-Pont en laissant les vingt-trois planches inachevées intitulées La Perle noire de Gengis Khân. Michel Conversin[modifier le code] La direction de Pèlerin demande à Michel Conversin, un jeune dessinateur de vingt-neuf ans, engagé en 1983, de poursuivre la dernière œuvre de Jean Ache suivant le scénario complet de ce dernier. La Main Pourpre est sa première histoire, en changeant complètement de formes de Pat’Apouf et de couleurs beaucoup plus vives après avoir crayonné, donné quelques coups de pinceau. Gulcis et Ballofet[modifier le code] En 1988, le jeune dessinateur laisse la place au rédacteur en chef du magazine moderne Pilote Guy Vidal comme scénariste sous le pseudonyme de Gulcis et au journaliste du Libération Philippe Callens comme dessinateur au nom de Ballofet. Encore une fois, ce dernier change de style graphique qui n’est pas sans rappeler celui de Louis Forton sans pour autant éloigner celui du créateur du personnage. Analyse[modifier le code] Expressions[modifier le code] Sur toutes publications sur Le Pèlerin et L’Almanach, Jacky vouvoie Pat’Apouf jusqu’à la retraite de l’auteur, en 1973. Graphisme[modifier le code] L’auteur se documentait la plupart du temps pour le besoin des voyages du détective, à l’exception de l’épisode Pat’Apouf au village, publié en 1954, dont l’histoire se déroule à Razac-sur-l’Isle où il résidait à La Chêneraie dans le quartier de Puylabor : il s’y inspirait comme si, « en quelque sorte, il jouait à domicile… »1 Postérité[modifier le code] Accueil critique[modifier le code] Dominique Petitfaux, critique Bd reconnu, a fait une étude exhaustive de l’œuvre de Gervy et a analysé en particulier les 63 épisodes de Pat’Apouf parus sous sa signature.Il en parle comme d’une « série parfois étonnamment adulte dans le ton » et déplore que la Bonne Presse n’ait pas fait l’effort pour en assurer la publication sous forme d’albums soignés (et complets !) de cet auteur important qui aurait pu faire une carrière à la Hergé. La réédition aux Éditions du Triomphe qu’il a chapeautée répare partiellement cette négligence. Publications[modifier le code] Revues[modifier le code] Pat’Apouf apparaît pour la première fois dans Le Pèlerin no 3180 du 6 mars 1938 jusqu’au no 4722 du 27 mai 1973* 1. Il s’interrompt en juin 1940 en raison de la Seconde Guerre mondiale, mais réapparaît en novembre 1940 dans le magazine Le Foyer jusqu’au 29 octobre 1944* 1. Il retrouve Le Pèlerin après la libération en juin 1945. Gervy (1938-1972) Année Titre Série Planches Parution Note 1938 8 3180 – 3187 1938 35 3188 – 3223 1939 39 3224 – 3267 1939 22 3268 – 3297 Inachevé en raison de la seconde guerre mondiale 1940 Pat’Apouf dans les glaces 40 3301 – 3340 Parution dans Le Foyer 1941 Pat’Apouf et la Bande à Chico 36 3341 – 3376 1942 Pat’Apouf et l’Île des pirates 62 3377 – 3438 1943 43 3439 – 3487 1945 Pat’Apouf et le Marché noir 28 3300 – 3327 1946 Pat’Apouf et la Mystérieuse Affaire Hourtin 30 3328 – 3357 1947 Pat’Apouf et le Vol du moteur secret 12 3358 – 3369 1947 Pat’Apouf en Océanie 21 3370 – 3390 Renommé en Pat’Apouf prend des vacances en 1953 1947 Pat’Apouf et la Soif de l’or 37 3391 – 3427 1948 Pat’Apouf aux Antipodes 37 3428 – 3464 1949 Pat’Apouf contre les gangsters 44 3465 – 3508 1949 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1950 Pat’Apouf chasse les grands fauves 63 3509 – 3571 1950 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1951 Pat’Apouf au village 57 3572 – 3618 1951 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1952 Pat’Apouf explore les roches rouges 54 3619 – 3672 1952 Pat’Apouf fakir 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1953 Pat’Apouf et les Contrebandiers A 52 3673 – 3726 1953 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1954 Pat’Apouf en Amazonie B 29 3727 – 3755 1954 Pat’Apouf et la Mine de Sicoa C 18 3756 – 3773 1954 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1955 Pat’Apouf et le Vol des bijoux D 44 3774 – 3817 1955 Pat’Apouf en Bretagne 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1956 Pat’Apouf en Arizona + Max Hitton E 38 3818 – 3855 1956 Pat’Apouf et le Virus de la mort 36 3856 – 3891 1956 Pat’Apouf aux sports d’hiver 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1957 Pat’Apouf et le Gang des diamants B 34 3892 – 3925 1957 Le canard de Pat’Apouf 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1958 Pat’Apouf en fusée C 36 3926 – 3961 1958 Pat’Apouf et l’Affaire Barbaka D 18 3962 – 3979 1959 E 16 3980 – 3995 1959 Pat’Apouf en Boldovie F 36 3996 – 4031 1959 2 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1960 G 36 4032 – 4067 1960 H 36 4068 – 4103 1960 4 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1961 I 34 4104 – 4137 1961 3 Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1962 J 24 4138 – 4161 1962 K 28 4162 – 4189 1963 Pat’Apouf et l’Affaire Ratapof L 32 4190 – 4221 1963 Pat’Apouf et l’Affaire Loustalo M 16 4222 – 4237 1964 Pat’Apouf et le Fantôme N 19 4238 – 4256 1964 Pat’Apouf dans le cosmos O 32 4257 – 4288 1965 Pat’Apouf au cirque P 32 4289 – 4320 1965 Pat’Apouf aux manœuvres atomiques Q 32 4321 – 4352 1966 R 35 4353 – 4387 1966 Pat’Apouf à Camacao S 34 4388 – 4421 1967 Pat’Apouf et l’Affaire Touron T 28 4422 – 4449 1968 Pat’Apouf au Brésil U 47 4450 – 4496 1969 Pat’Apouf en Colombie V 49 4497 – 4545 1969 Pat’Apouf et le Trésor de l’ile aux mouettes W 42 4546 – 4587 1970 Pat’Apouf en Écosse X 34 4588 – 4621 1971 Pat’Apouf et les Trafiquants de drogue Y 31 4622 – 4652 1972 Z 21 4653 – 4673 1972 Pat’Apouf et l’Affaire Bouchon AA 20 4674 – 4693 1972 AB 29 4694 – 4722 Jean Ache (1973-1985) Année Titre Planches Parution Notes 1973 Le Secret de l’urne zapothèque 30 4723 – 4752 1973 Enquête au cirque 30 4753 – 4782 1974 Alerte aux ovnis 30 4783 – 4812 1975 L’Œil de Krishna 30 4813 – 4842 1975 Le Mystérieux Trésor de M. Leroy 30 843 – 4872 1975 Pat’Apouf en vacances Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1976 Prenez garde aux termites 30 4873 – 4902 1976 Le Trésor du lac Zauber 30 4903 – 4932 1976 Pat’Apouf et le Trésor du sire de Coucy Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1977 Le Secret du menhir 30 4933 – 4962 1977 Pat’Apouf et la Poupée russe Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1978 L’Étrange Mort du docteur Klobs 30 4963 – 4992 1978 Le Trésor inconnu de Toutankhamon 30 4993 – 5022 1978 Pat’Apouf et le Yéti Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1979 Pas de poissons pour Pat’Apouf 30 5023 – 5052 1979 La Malédiction du grand Mogol 30 5053 – 5082 1979 Le Collier d’or des Quimbayas Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1980 Razzia chez les mayas 30 5083 – 5112 1980 Les Chocolats d’Anvers Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1981 La Corde au cou 42 5113 – 5154 1981 La Maison de la peur 40 5155 – 5194 1981 Goliath mène l’enqête Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1982 Le Perroquet japonais 39 5195 – 5233 1982 Le Trésor de la frégate Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1983 L’Héritage 43 5234 – 5276 1983 Pat’Apouf et le Secrétaire Charles X Paru dans L’Almanach du Pèlerin 1984 L’Ombre blanche 48 5277 – 5324 1984 Trésors aux caraïbes 46 5325 – 5370 1985 La Perle noire de Gengis Khan 23 5371 – 5393 Michel Conversin (1985-1988) Année Titre Planches Parution Notes 1985 La Perle noire de Gengis Khan 24 5394 – 5417 La suite, après le décès de Jean Ache 1986 La Main pourpre 46 5418 – 5463 1987 Pat’Apouf contre docteur M 45 5464 – 5508 Ballofet et Gulcis (1988-1990) Année Titre Planches Parution 1988 Pat’Apouf et les Disparus de Jolibois 44 5509 – 5552 1989 Le Musée de l’Europe 44 5553 – 5596 1990 Le Train fantôme 21 5597 – 5617 Albums[modifier le code] Maison de la Bonne Presse Ces albums représentent les premières éditions, en oblong (18×15) et broché : 1 Pat’Apouf dans les glaces, Bonne Presse, 1946Scénario et dessin : Gervy 2 Pat’Apouf et la Bande à Chico, Bonne Presse, 1947Scénario et dessin : Gervy 3 Pat’Apouf et l’Île des pirates, Bonne Presse, 1949Scénario et dessin : Gervy 4 Pat’Apouf contre les gangters2, Bonne Presse, 1951Scénario et dessin : Gervy 5 Pat’Apouf prend des vacances2, Bonne Presse, 1953Scénario et dessin : Gervy 6 Pat’Apouf chasse les grands fauves2, Bonne Presse, 1953Scénario et dessin : Gervy 7 Pat’Apouf aux antipodes2, Bonne Presse, 1954Scénario et dessin : Gervy 8 Pat’Apouf au village, Bonne Presse, 1954Scénario et dessin : Gervy 9 Pat’Apouf explore les Roches-Rouges, Bonne Presse, 1955Scénario et dessin : Gervy 10 Pat’Apouf et les Contrebandiers, Bonne Presse, 1955Scénario et dessin : Gervy 11 Pat’Apouf en Amazonie, Bonne Presse, 1955Scénario et dessin : Gervy 12 Pat’Apouf et le Vol des bijoux, Bonne Presse, en carton, 1956Scénario et dessin : Gervy 13 Pat’Apouf et le Virus de la mort, Bonne Presse, en carton, 1958Scénario et dessin : Gervy 14 Pat’Apouf et le Gang des diamants, Bonne Presse, en carton, 1958Scénario et dessin : Gervy 15 Pat’Apouf en fusée, Bonne Presse, en carton, 1959Scénario et dessin : Gervy 16 Pat’Apouf en Boldovie, Bonne Presse, en carton, 1959Scénario et dessin : Gervy Éditions Hachette 1 Le Secret de l’urne zapothèque, Hachette, (ISBN 2-01-002540-7), 1975Scénario et dessin : Jean Ache Éditions du Triomphe Intégrale de la période 1946 – 1960Scénario et dessin : Gervy 1 Pat’Apouf et l’Affaire Hourtin (1946) suivi de Pat’Apouf et le Vol du moteur secret (1947) (épisodes inédits en albums, parus dans Le Pèlerin), 2005 2 Pat’Apouf prend des vacances (1947) (réédition de l’album Bonne Presse no 5), 2006 3 Pat’Apouf aux antipodes (1947-1948) (réédition de l’album Bonne Presse no 7) avec 5 histoires inédites parues dans L’Almanach du Pèlerin entre 1949 et 1953, 2007 4 Pat’Apouf contre les gangsters (1949) (réédition de l’album Bonne Presse no 4), 2008 5 Pat’Apouf chasse les grands fauves (1950) (réédition de l’album Bonne Presse no 6), 2009 6 Pat’Apouf au village (1951-1952) (réédition de l’album Bonne Presse no 8), 2010 7 Pat’Apouf explore les roches rouges (1952-1953) (réédition de l’album Bonne Presse no 9), 2012 8 Pat’Apouf et les Contrebandiers (1953-1954) (réédition de l’album Bonne Presse no 10), 2013 9 Pat’Apouf en Amazonie (1954) (réédition de l’album Bonne Presse no 11), 2014 10 Pat’Apouf et le Vol des bijoux (1955) (réédition de l’album Bonne Presse no 12), 2015 11 Pat’Apouf au far west (1956) ((histoire inédite en album, parue dans Le Pèlerin sous le titre Pat’Apouf en Arizona) avec 5 histoires inédites parues dans L’Almanach du Pèlerin entre 1954 et 1959, 2016 À partir de 1956, afin de toucher un plus jeune lectorat, Pat’Apouf mène ses enquêtes avec un jeune assistant, Jacky, un garçon qu’il a adopté. 12 Pat’Apouf et le Virus de la mort (1956) (réédition de l’album Bonne Presse no 13), 2017 13 Pat’Apouf et le Gang des diamants (1957) (réédition de l’album Bonne Presse no 14), 2018 14 Pat’Apouf en fusée (1958) (réédition de l’album Bonne Presse no 15), 2019 15 Pat’Apouf en Boldovie (1958-1959) (histoire inédite en album – reprend l’épisode paru dans Le Pèlerin sous le titre Pat’Apouf et l’Affaire Barbaka et l’épisode suivant publié sans titre), 2020 16 Pat’Apouf chez les Rasmaniens (1959) (la suite des aventures de Pat’Apouf et Jacky en Boldovie – reprend l’épisode paru dans Le Pèlerin sous le titre Pat’Apouf en Boldovie – réédition de l’album Bonne Presse no 16), 2021 17 Pat’Apouf et l’Empreinte du Tatoué, (histoire inédite en album, parue dans Le Pèlerin du 21 février au 23 octobre 1960, à l’époque sans titre), 2022 Distinction[modifier le code] Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand3 par le pape Jean XXIII en 1959. Adaptation[modifier le code] Cinéma[modifier le code] En 1947, la Maison de la Bonne Presse avait également tiré cent quarante bobines pour treize aventures de Pat’Apouf en films fixes, aujourd’hui très rares, souvent transposés sur l’écran improvisé des salles de patronage paroissial* 2. Titres des films fixes4 Malgré l’oubli de cette technique, les titres s’avèrent parfois différents. Pat’Apouf Détective Les Aventures de Pat’Apouf détective (1947) Oncle Pat et Ritou contre le marché noir (1948) La Mystérieuse Affaire Hourtin (1948) Le Vol du moteur secret (1948) Pat’Apouf en Océanie (1948) La Soif de l’or (1949) La Grande Offensive 1949) Pat’Apouf chasse les grands fauves (1952) Pat’Apouf, l’as des détectives (1952) Les Exploits inouïs de Pat’Apouf (1953) La Fausse Barbe de Pat’Apouf (1955) Pat’Apouf et les Pirates de l’air Notes et références[modifier le code] Notes ↑ a et b BDM Trésors de la bande dessinée 2009-2010, page 995. ↑ Frédéric Vienne, Archives de l’église de France : Les films fixes au service de la religion, Paris, INDICA, 2008, 69e éd., 40 p. (lire en ligne), p. 34 Références ↑ Alain Bernard, « Le retour au pays de Pat’Apouf », sur sudouest.fr, 31 octobre 2010 (consulté le 19 mai 2022). ↑ a b c et d Selon BDM Trésors de la bande dessinée 2009-2010, p.624, les épisodes des albums 4 à 7 ont paru dans Le Pèlerin dans l’ordre suivant 5, 7, 4 et 6. ↑ Didier Pasamonik, « « Pat’Apouf et l’Affaire Hourtin » – Gervy – Éditions du Triomphe », sur ActuaBD, 13 octobre 2005 (consulté le 27 septembre 2012) ↑ Anonyme, « Répertoire films fixes : Gervy », sur Films fixes chez Alice (consulté le 27 septembre 2012) Annexes[modifier le code] Sources[modifier le code] Revues[modifier le code] Dominique Petitfaux, « Gervy, le grand maitre de la Bonne Presse », dans Le Collectionneur de bandes dessinées, no 21 (1980) François Dunois, « Pat’Apouf fête ses 50 ans », dans Pèlerin Magazine, no 5487 (1988) Dominique Petitfaux, « Gervy en Belgique, bibliographies ultimes », dans Le Collectionneur de bandes dessinées, no 81 (1998) Livre[modifier le code] Pierre Pommier, Éducation et bande dessinée en Aquitaine, Bordeaux, Presses universitaires de Bordeaux, 1999 (ISBN 2-86-781-238-0) Internet[modifier le code] Le Coin du patrimoine : Pat’Apouf sur BDZoom Article contexte[modifier le code] Pèlerin Liens externes[modifier le code] Site officiel Pat’Apouf sur La Bédéthèque Portail de la bande dessinée <img title= » » height= »1″ style= »border: none; position: absolute; » alt= » » src= »//fr.wikipedia.org/wiki/Special:CentralAutoLogin/start?type=1×1″ width= »1″> Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Pat%27Apouf&oldid=208934312 ».

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Val-de-Marne : le Sedif renforce la sécurité de l’approvisionnement en eau potable

La station de Joinville a été inaugurée par le Sedif

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Charles d’Argy — Wikipédia

Charles d’Argy – Wikipédia

Le colonel Charles d’Argy Charles d’Argy (Charles Henry Louis comte d’Argy), né le à Malmy (Ardennes) et décédé à Rome le , est un militaire français. Colonel de l’ armée française sous le Second Empire, il est cofondateur de l’école normale de gymnastique militaire de Joinville en 1852 et fondateur de la Légion d’Antibes en 1866.

Charles d’Argy (Charles Henry Louis comte d’Argy), né le 26 mai 1805 à Malmy (Ardennes) et décédé à Rome le 26 janvier 1870, est un militaire français. Colonel de l’armée française sous le Second Empire, il est cofondateur de l’école normale de gymnastique militaire de Joinville en 1852 et fondateur de la Légion d’Antibes en 1866. Biographie[modifier le code] Charles d’Argy est le fils de Charles-Louis d’Argy de Malmy, officier des gardes du corps du roi Louis XVIII et de Joséphine Rosine Schmidt de Bude. D’une très ancienne famille de la noblesse de Champagne, alliée aux Maisons de Coucy, d’Ambly, d’Alendhuy, de Roucy, de Maubeuge, il est élevé dans un environnement militaire. Après des études au collège de Charleville, il s’engage dans la Garde royale. Armoiries[modifier le code] Armes d’Argy : d’argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules. Les campagnes méditerranéennes[modifier le code] En 1823, à 18 ans, il participe à la campagne d’Espagne sous les ordres du duc d’Angoulème et y gagne ses galons de sergent. Il participe ensuite en 1830 à la conquête de l’Algérie . Promu adjudant après la prise d’Alger il poursuit sa carrière en Algérie jusqu’en 1852, participant la campagne de la Petite Kabylie sous les ordres du maréchal Randon1. Pendant toute cette période coloniale, il manifeste un intérêt particulier pour l’entraînement et l’entretien physique du soldat et les travaux d’Amoros. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? L’École normale de gymnastique militaire de Joinville[modifier le code] Cet intérêt lui vaut le 15 juillet 1852 d’ouvrir l’école normale de gymnastique militaire de Joinville à la redoute de la FaisanderieN 1 alors dans l’ex-département de la SeineN 2. Il en est le premier commandant, secondé par Napoléon Laisné, un autre fidèle d’Amoros. L’objectif de l’école est de former des moniteurs militaires de gymnastique mais « elle va rapidement s’impliquer hors de l’espace propre à l’armée en profitant de la double opportunité de l’obligation de la gymnastique dans les écoles publiques et de l’absence de dispositifs de formations à l’éducation physique scolaire2 ». Dès les premiers mois, d’Argy fait publier un Livret de commandement à l’usage des instructeurs du régiment et intervient auprès du Ministre de la Guerre pour faire établir la liste des équipements indispensables dans chaque corps de troupe3. Ayant obtenu satisfaction il publie lui-même en 1855 une Instruction pour l’enseignement de la gymnastique. Rééditée en 1865 et 1872 celle-ci règle pendant un demi-siècle l’enseignement de Joinville4 où d’Argy contribue également à instituer l’enseignement de la natation5. Il s’appuie à cet effet sur un ouvrage qu’il a publié lui-même dès 1851 avec l’aval du ministère des Armées. Son Instruction pratique pour l’enseignement élémentaire de la natation dans l’Armée préconise l’apprentissage des mouvements sur la terre ferme avant leur application en milieu aquatique aménagé et sécurisé 6. En 1856 il cède la direction de l’École au commandant de la Plane7. Besançon[modifier le code] Mobilisé pour la campagne d’Italie, il y sert sous les ordres du maréchal Niel et à la suite de la bataille de Solférino, le 24 juin 1859, Charles d’Argy est nommé colonel du 53e de ligne qu’il suit en garnison à Besançon. Devenu rapidement une personnalité de la ville, il contribue à son développement sportif en y remettant – entre autres – la pratique du tir à l’arc au goût du jour tant dans les milieux civils que militaires8. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? La légion d’Antibes[modifier le code] En 1866 il accepte, à la demande du maréchal Randon ministre de la Guerre, de fonder et commander la Légion d’Antibes N 3, corps de volontaires français mis au service du pape pour la défense des états pontificaux. Celle-ci, réunie à Antibes, embarque pour l’Italie forte de 1 200 hommes le 13 septembre 1866 et défile devant Pie IX le 24. Composée uniquement de volontaires, elle porte l’uniforme en usage dans l’infanterie française, avec la coiffure et les insignes des chasseurs et des boutons portant la tiare pontificale et les clés de saint Pierre. Elle est équipée du très récent fusil Chassepot qui permet une cadence de tir très rapide pour l’époque. Cette unité est casernée à Viterbe et à Rome. En octobre 1867, Garibaldi et ses chemises rouges déclenchent une offensive contre les états pontificaux. Le général Kanzler, commandant en chef des troupes pontificales mène la contre-offensive. Le 3 novembre 1867 à Mentana, les zouaves pontificaux du colonel de Charette et la Légion du colonel d’Argy soutenus par la brigade de l’armée française du général Polhès mettent en déroute la petite armée de Garibaldi. Cette victoire de Mentana assure à l’État pontifical un répit de trois ans jusqu’à la prise de Rome par les troupes italiennes le 21 septembre 1870 où la Légion d’Antibes capitule avec les honneurs de la guerre. Entre-temps le colonel comte Charles d’Argy meurt à Rome le 26 janvier 1870, assisté du Saint-Père sur son lit de mort. Les officiers de son régiment font ériger un monument à sa mémoire en l’église Saint-Louis des Français à RomeN 4. Décorations[modifier le code] Charles d’Argy, commandeur de la Légion d’honneur par décret du 29 décembre 1864, est également titulaire de : l’ordre de Pie IX ; l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand ; l’ordre de Saint-Ferdinand d’Espagne ; l’ordre du Mérite militaire de Savoie ; l’ordre de François Ier des Deux-Siciles ; l’ordre de l’Aigle rouge de Prusse ; la croix de Mentana. Cravate de commandeur de l’ordre impérial de la Légion d’honneur Médaille de l’ordre de Pie IX Collier de l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand Médaille de l’ordre de Saint-Ferdinand d’Espagne Médaille de l’ordre royal de François Ier des Deux-Siciles Médaille de l’ordre de l’Aigle rouge de Prusse Notes et références[modifier le code] Notes[modifier le code] ↑ Ouvrage des fortifications de Saint-Maur en limite est du Bois de Vincennes et du plateau de Gravelle alors sur le territoire de la commune de Joinville-le-Pont. Depuis 1929, les parties du Bois de Vincennes appartenant aux communes riveraines sont rattachées au 12earrondissement de Paris ↑ Dont une partie constitue le Val-de-Marne depuis le 1er janvier 1968 ↑ Officiellement dénommée Légion romaine ↑ Le 26 septembre, la légion débarque à Toulon pour former le 47e régiment de marche. Aussitôt envoyé contre les Prussiens pour tenter de débloquer Belfort avec le général Bourbaki, celui-ci s’illustre à Villersexel. En avril 1871, durant les troubles de la Commune, le ministre de la Guerre envoie le 47e à Marseille pour combattre les insurgés soutenus par les chemises rouges de Garibaldi. Références[modifier le code] ↑ Abbé Besson 1870, p. 1 ↑ Pierre Simonet et Laurent Veray, 2003 ↑ Lieutenant-Colonel Labrosse 1930, p. 19 ↑ Lieutenant-Colonel Labrosse 1930, p. 20 ↑ Ministère de la Défense 1996, p. 15 ↑ Ministère de la Défense 1996, p. 17 ↑ Lieutenant-Colonel Labrosse 1930, p. 40 ↑ Abbé Besson 1870, p. 2 Bibliographie[modifier le code] : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Archives départementales des Ardennes. Archives nationales, fonds 2 empire. Abbé Besson, Notice sur le Comte Charles d’Argy : colonel de la légion romaine, Besançon, Imprimerie J. Jacquin, 1870. Lire en ligne « Notice sur le Comte Charles d’Argy, pages 1 et 2 » L. F de Caumartin, procès-verbal de la recherche de la Noblesse de Champagne. D’Hozier, Grand Armorial de France. Lieutenant-Colonel Labrosse, L’Ecole de Joinville 1852-1930, Joinville, Imprimerie de l’Ecole, 1930 Ministère de la Défense (dir.), Une histoire culturelle du sport : De Joinville à l’Olympisme, Paris, Revue EPS, 1996, 226 p. (ISBN 2-86713-131-6, BNF ) Louis Adrien Roland, comte d’Argy, Histoire de la Maison d’Argy. Pierre Simonet (dir.) et Laurent Veray (dir.), L’empreinte de Joinville 150 ans de sport, Paris, INSEP, coll. « Les cahiers de l’INSEP », mai 2003, 503 p. (ISBN 978-2-86580-143-5, BNF ) Abbé Staub, Historique de la Légion franco-romaine, ex-légion d’Antibes, devenue 47e régiment de marche. Rome 1866-1870 ; France 1870-1871, Abbeville, Paillart, S. d., 1893 (ASIN ) Article connexe[modifier le code] Familles subsistantes de la noblesse française Portail de l’histoire militaire Portail du sport Portail de la France Portail du Vatican <img alt= » » width= »1″ title= » » height= »1″ src= »//fr.wikipedia.org/wiki/Special:CentralAutoLogin/start?type=1×1″ style= »border: none; position: absolute; »> Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Charles_d%27Argy&oldid=208759324 ».

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Attaque du Hamas contre Israël : Elisabeth Borne dénonce les « ambiguïtés révoltantes » de La France insoumise

En décalage avec le reste de la classe politique française, qui a largement condamné l’assaut sur l’Etat hébreu, LFI est accusée de trouver des justifications à l’attaque en dénonçant d’une même voix le mouvement islamiste et la colonisation israélienne.

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JO de Paris 2024 : Joinville veut « mettre du sport dans le quotidien » de ses habitants – Le Parisien

Sans épreuve, mais avec le passage de la flamme, la ville des bords de Marne, labélisée Terre des jeux, prépare une année sportive. Poubelles transformées en paniers de basket, expos, marches avec informations sur les calories dépensées, livres sur le sport ou encore pistes d’athlé…

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Studios de Joinville — Wikipédia

Studios de Joinville – Wikipédia

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre. Les studios de Joinville étaient des studios de tournage de cinéma et de télévision situés au 20 avenue du Général-Gallieni à Joinville-le-Pont ( Val-de-Marne), en activité de 1910 à 1987. Ils étaient disposés sur un terrain de 16 500 entre l’avenue du Général-Gallieni, l’avenue Joyeuse et l’avenue du Président-Wilson.

Cet article est une ébauche concernant un studio de cinéma. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les conventions filmographiques. Les studios de Joinville étaient des studios de tournage de cinéma et de télévision situés au 20 avenue du Général-Gallieni à Joinville-le-Pont (Val-de-Marne), en activité de 1910 à 1987. Ils étaient disposés sur un terrain de 16 500 m2 entre l’avenue du Général-Gallieni, l’avenue Joyeuse et l’avenue du Président-Wilson. Entre 1910 et 1970, les films réalisés aux studios de Joinville sont les plus représentatifs du cinéma français, atteignant jusqu’à 40 % de la production nationale. Historique[modifier le code] Les premiers studios sont construits en 1908 ou 1910 pour Charles Pathé et Léon Gaumont par les frères Levinsky, loueurs de meubles. Il ne s’agissait à l’époque que d’une baraque, encore en lumières naturelles. Elle sera ensuite le premier studio électrifié, jusqu’en 1921. À cette date, la société Pathé construit plusieurs studios non loin de son site industriel de pellicules photographiques de Joinville-le-Pont, et des Studios de Saint-Maurice à Saint-Maurice. Le 23 juillet 1919, la société Pathé dépose ses statuts de Société anonyme au capital de 275 000 francs et dénommée « Cinéma Studio de Joinville ». En 1930, Chiqué de Pierre Colombier est le tout premier film parlant réalisé en France. Les années 1930 sont marquées par le tournage des Misérables de Raymond Bernard, et par la personnalité de Marcel Carné qui illustre le mouvement du réalisme poétique (Quai des brumes, 1938). Joinville est également le lieu de tournage des Enfants du paradis de Marcel Carné toujours (1945), et de French Cancan de Jean Renoir (1955). À partir de 1947, les studios font partie de l’ensemble Franstudio. Le dernier exploitant en a été la Société française de production (SFP, issue de l’ORTF). La SFP a transféré l’ensemble de l’activité à Bry-sur-Marne en 1987. En 1991, les bâtiments des studios sont démolis, et un ensemble immobilier résidentiel est construit sur le site. Le site industriel Pathé de Joinville-le-Pont abrite quant à lui toujours des activités liées à la création audiovisuelle, avec la « Cité du cinéma ». Films notables tournés aux studios de Joinville[modifier le code] Article détaillé : Liste de films tournés aux studios de Joinville. Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Film tourné aux studios de Joinville. 1925 : Visages d’enfants de Jacques Feyder 1928 : L’Argent de Marcel L’Herbier 1931 Marius de Marcel Pagnol, le bar de la marine est en décor aux studios de Joinville et autres intérieurs. 1932 Fanny de Marcel Pagnol, le bar de la marine est en décor aux studios de Joinville et autres intérieurs. 1932 : L’affaire est dans le sac de Pierre et Jacques Prévert 1936 César de Marcel Pagnol, le bar de la marine est en décor aux studios de Joinville et autres intérieurs. 1936 : La Belle Équipe de Julien Duvivier 1936 : Mayerling d’Anatole Litvak 1937 : Drôle de drame de Marcel Carné 1938 : Le Quai des brumes de Marcel Carné 1938 : La Bête humaine de Jean Renoir 1938 : Mollenard de Robert Siodmak 1939 : La Règle du jeu de Jean Renoir 1945 : Les Enfants du paradis de Marcel Carné 1945 : Seul dans la nuit de Christian Stengel 1952 : Nez de cuir d’Yves Allegret 1955 : French Cancan de Jean Renoir 1956 : Elena et les Hommes de Jean Renoir Descriptif des différents plateaux[modifier le code] Plateau Surface Longueur Largeur Hauteur Piscine Studio A 264 m² 22m 12m 7m Studio B 810 m² 45m 18m 10,50m 6x4m Studio C 96 m² 12m 8m 6m Studio D 612 m² 35m 17,5m 13m Studio E 504 m² 36m 14m 9m 12x8m Studio F 825 m² 33m 25m 14m Studio G 400 m² 25m 16m 14m Article connexe[modifier le code] Liste de films tournés dans le département du Val-de-Marne Liens externes[modifier le code] Histoire des débuts des Studios à Joinville-le-Pont Portail du cinéma français Portail du Val-de-Marne Portail de la télévision française <img height= »1″ style= »border: none; position: absolute; » title= » » src= »//fr.wikipedia.org/wiki/Special:CentralAutoLogin/start?type=1×1″ alt= » » width= »1″> Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Studios_de_Joinville&oldid=208411653 ».

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OFFRE D EMPLOI

Directeur général adjoint des services à la population (h/f) – Joinville-le-Pont